vendredi, 26 mai 2017
samedi, 02 décembre 2006
Depuis mai 2006, la sortie anticipée du contingentement laitier a permis à certaines organisations de passer d'un contrat de droit public à un contrat de droit privé. Nous sommes aujourd'hui en présence de 27 organisations laitières qui explose l'offre et font le bonheur des transformateurs et distributeurs qui négocient au plus offrant. Uniterre a, à plusieurs reprises, tenté d'amener sa contribution afin de chercher à regrouper l'offre.
vendredi, 28 juillet 2006

mardi, 25 juillet 2006
La politique agricole suisse est en réforme perpétuelle. Cela concerne les lois telles que la Loi sur l'agriculture, la Loi sur le droit foncier rural ou celle sur le bail à ferme. Uniterre s'engage pour que les modifications répondent aux attentes des familles paysannes.
Uniterre a pris position en décembre 2005 sur le projet de Politique Agricole 2011.
Courant 2006, elle a également donné son point de vue sur les modifications de différentes ordonnances.
Uniterre suit de près l'évolution du dossier auprès du Parlement.
Parallèlement, nous nous engageons à la récolte de signatures pour la Pétition contre PA 2011   > les photos du dépôt de la pétition le 28 fevrier 2007 à berne
Uniterre participe à l'action pour le maintien du soutien à la mise en valeur de la laine de mouton.Lettre de soutien à la mise en valeur de la laine co-signée par Uniterre.Lettre-type à télécharger et à envoyer à vos Conseillers nationaux et des Etats.
 
La loi sur l'agriculture voté le 22 juin par le Parlement
La loi sur l'agriculture a été votée et ce n'est pas pour nous réjouir. Nous l'avons toujours dit, ce n'est pas le rythme de la réforme qui pose problème, mais bien l'orientation de celle-ci. De très nombreux signes au plan national et international démontrent que la libéralisation des marchés nous amène dans une voie sans issue, tant pour l'agriculture que pour la société. Uniterre regrette donc que ce soit de simples ajustements qui ait été apportés à la loi et non un vrai changement de cap comme nous l'avions demandé via une pétition qui a eu de larges échos. Uniterre ne se décourage pas pour autant et prépare d'ores et déjà la suite : interpellation des candidat-e-s aux élections nationales de cet automne, afin qu'ils se déterminent sur nos visions et début de réflexions sur une éventuelle initiative populaire. Ce qui s'ajoute à nos luttes sur les marchés, à l'exemple du mouvement lancé pour un prix du lait équitable pour tous « par litre de lait, un franc pour le paysan ».
lundi, 29 mai 2006
Réponse conjointe d'Uniterre et de la Coordination Paysanne Européenne.
Votre rapport sur la faisabilité d'un accord de libre-échange, amène rapidement aux conclusions auxquelles nous nous attendions. Une évolution drastique des structures est prévue, faisant passer le nombre d'exploitations de plus de 60'000 à 30'000. Comme vous l'indiquez, les conséquences sur le revenu et les structures seront pires que celles attendues par un éventuel accord OMC. Le revenu net sectoriel perdrait 300 millions de plus que le scénario OMC et 5'000 exploitations supplémentaires.
lundi, 15 mai 2006
2008. Uniterre a été consulté, comme d'autres organisations, sur le projet d'étendre le mandat de négociation de la délégation suisse à l'OMC. Pour le Département, l'objectif étant d'assouplir la position de la Suisse afin d'être en mesure d'accepter un éventuel accord. Uniterre a exprimé son opposition par une lettre adressée au seco le 14 avril 2008. document
mardi, 09 mai 2006

 
"Prenons le temps de réfléchir aux causes des crises sanitaires"
 
samedi, 29 avril 2006
Jonction Ville Campagne
Le 29 avril 2006 au Parc Gourgas, dans le quartier de la Jonction à Genève.
> programme
mardi, 25 avril 2006
 
"La fièvre du libre-échange mène à la grippe aviaire"
 
mardi, 18 avril 2006
Uniterre dénonce la politique du libre-échange (avril 2006)
A force de spécialisation de certains secteurs agricoles vers l'exportation à bas prix, il ne faut pas s'étonner de récolter les fruits désastreux actuels. Après avoir fait porter le chapeau pendant plusieurs mois à la volaille de basse-cour, puis aux oiseaux migrateurs, les grands élevages industriels commencent enfin à être désignés comme vecteurs principaux de la grippe aviaire. Mais si la FAO le reconnaît, elle n'est pourtant pas prête à encourager l'élevage fermier ; bien au contraire, elle s'entête dans une politique de « révolution de l'élevage » synonyme d'intégration verticale du secteur avicole, largement en main des transnationales. (cf article Uniterre avril).
mercredi, 08 mars 2006
Commandez des banderoles"Moins d'OMC - Plus de souveraineté alimentaire"!
C'est avec ce slogan qu'Uniterre prévoit de lancer, ensemble avec les collègues suisses-alémaniques d'"Arbin" (Arbeitsgruppe bäuerliche Inhalte), une campagne nationale d'affichage contre l'OMC.
mardi, 31 janvier 2006
> décembre 2006: pour un prix du lait national équitable!
> novembre 2006: Quelle ligne doit-on suivre?
> octobre 2006: Arrêtons de subventionner les grands distributeurs!
> septembre 2006: Production de dindes: exigeons le maintien des filières!
> juillet 2006: «Angélisme et pragmatisme» ou «professionnalisme et amateurisme»?
mardi, 10 janvier 2006
14.12.2006 Menaces sur les filières Uniterre, Unia et la FRC signent un communiqué commun et organisent une soirée de sensibilisation auprès du public dans les rues marchandes de Fribourg.
27.11.2006 25'000 signatures contre PA 2011Alors qu'Avenir Suisse propose de clouer l'agriculture au pilori et que PA 2011 ne fait aucun progrès, Uniterre maintient son soutien à la pétition contre PA 2011.
16.10.2006 2030 et la souveraineté alimentaireA l'occasion de la journée internationale sur la souveraineté alimentaire, Uniterre interpelle le seco et les agroscopes sur la durabilité du libre-échange.
27.09.2006 Les grands distributeurs et les coûts Arrêtons de subventionner les grands distributeurs!
20.09.2006 Prix du laitLa situation économique des paysans exige une augmentation du prix du lait. 
20.09.2006 Riz génétiquement modifiéRiz transgénique non autorisé en Suisse
04.09.2006 PA 2011La résistance s'élargit
28.06.2006 Le panier à 4 pattesDe la prairie aux gigots, il n'y a qu'un pas
01.06.2006 Accord de libre-échangeUniterre et la CPE s'y oppose
22.05.2006 ESBLa décision du TF laisse sceptique
12.05.2006 OMCDes échanges sur la base du droit à la souveraineté alimentaire
09.05.2006 Grippe aviaireConfinement des responsables de la santé publique
08.05.2006 Plainte ESBUn jugement politique et économique
29.04.2006 Journée «Jonction ville-campagne»à l'occasion de la Journée Internationale de la Lutte Paysanne 2006
25.04.2006 Grippe aviaireLa fièvre du libre-échange mène à la grippe aviaire
02.02.2006 Grévistes de "la Boillat" à ReconvilierUniterre apporte son soutien
10.01.2006 OMC militants inculpésDemande de libération
lundi, 06 novembre 2017
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L'invité-e de Romain Clivaz - RSR1- vendredi 3 novembre

Interview de Pascal Corminboeuf, ancien conseiller d’Etat fribourgeois, qui ne partage pas la vision du Conseil fédéral sur les perspectives de la politique agricole.

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samedi, 04 novembre 2017
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Emission Forum du 3 novembre


Le Conseil fédéral veut réduire le protectionnisme en matière agricole et le gouvernement se dit persuadé des bienfaits de cette réduction d'un point de vue économique. Débat entre Philippe Nantermod, conseiller national (PLR/VS) et Rudi Berli, maraîcher et président d'Uniterre Genève.

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vendredi, 03 novembre 2017

Communiqué de presse Uniterre et Alliance pour la souveraineté alimentaire

Lausanne, 3 novembre 2017

Vue d’ensemble sur la politique agricole

Le syndicat paysan Uniterre et l’Alliance pour la Souveraineté Alimentaire ont accueilli avec beaucoup d’inquiétude les déclarations du Conseiller Fédéral Johann Schneider-Ammann du 1er novembre. Durant la campagne sur la Sécurité Alimentaire, nous avons mis en garde contre le risque de multiplication des accords de libre-échange. Cela s’est confirmé. Il est donc d’autant plus important de s’engager pour la souveraineté alimentaire, elle qui préconise un marché équitable, dans le respect de tous les acteurs, ainsi que le partage juste de la valeur ajoutée.

Cette interminable litanie du Conseil Fédéral sur l’ouverture des frontières, la compétitivité et le pouvoir de l’innovation a abouti à la fermeture de 2 à 3 exploitations agricoles par jour, la chute de 30% des prix à la production ces 30 dernières années, ceci alors que la part du budget des ménages dédiée à l’alimentation n’est que de 7%. Ce développement alimente l’énorme concentration du marché dans les mains d’une poignée d’entreprises nationales et de multinationales. Et ces dernières, de par leur puissance sur le marché, poussent à la destruction de l’agriculture paysanne, parmi d’autres conséquences bien connues comme l’industrialisation, la surexploitation des ressources naturelles, le changement climatique et la perte de la biodiversité (voir Rapport Mondial sur l’Agriculture 2008).

Les paroles contradictoires du Conseil Fédéral n'aident ni les paysannes et paysans, mais au contraire servent leurs adversaires. Il est prévu d’allouer des moyens supplémentaires pour atténuer les effets de cette ouverture des marchés. Cela rendra les paysannes et les paysans encore plus dépendants de l’Etat et ce, en complète contradiction avec l’esprit entrepreneurial prôné par le Conseil Fédéral. Répéter inlassablement un non-sens, ne le rend pas plus sensé! Nous exigeons que l'agriculture soit définitivement exclue des accords de libre-échange. Pierre-André Tombez, président de l'Alliance pour la Souveraineté Alimentaire indique : "Au niveau mondial, nous faisons partie de cette poignée de pays qui importent énormément de denrées alimentaires. La mise en place d'un marché équitable local et international, comme le propose notre initiative pour la Souveraineté Alimentaire, est la solution pour arrêter les accords de libre-échange."

La défense d’une agriculture diversifiée et des protections douanières efficaces, ainsi que la démocratisation des systèmes alimentaires, sont impératifs pour permettre le maintien de l'agriculture paysanne et d’une alimentation saine. Ulrike Minkner, paysanne bio et vice-présidente de l'Alliance pour la Souveraineté Alimentaire précise : "Notre vision d'une agriculture qui produit une alimentation socialement juste et écologique, trouve un écho dans notre pratique quotidienne comme paysannes et paysans ainsi que dans l'initiative pour la Souveraineté Alimentaire."

L’Alliance pour la souveraineté alimentaire a été fondée en septembre 2016, elle promeut l’initiative pour la souveraineté alimentaire. Elle réunit environ 250 organisations et personnes issues de mouvements agricoles, ecclésiastiques et sociaux. La votation aura vraisemblablement lieu en automne 2018.




communiqué en pdf


jeudi, 26 octobre 2017
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Partout dans le monde, les accaparements par des multinationales ou des États, les expropriations, le bétonnage ou les prix exorbitants empêchent les jeunes paysans dʹaccéder à la terre. En Suisse, 25% des jeunes qui sortent de formation sont sans terre. Au mois de juillet 2017, se tenait à Bilbao la Conférence du mouvement international de défense des petits paysans : Viacampesina. Berthe Darras et Aurélia Spozio y représentaient les jeunes paysans de Suisse.

Lien vers l'émission

Cette émission fait partir d'un volet en 5 séquences sur les sols. A retrouver sur le lien ci dessus.


jeudi, 26 octobre 2017
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Emission de la RTSUn du 25 Octobre - 20h10


Mille exploitations agricoles disparaissent chaque année sur le territoire helvétique. Faut-il sauver le paysan suisse? Sera-t-il bientôt exposé au Musée Ballenberg? Les Coulisses de l’événement racontent l’épopée de la grève du lait en 2008. Des milliers de paysans avaient pris part au mouvement dans tous les cantons romands, affichant une détermination et une solidarité impressionnantes. Dix ans plus tard, le temps de la révolte semble passé. Le paysan suisse se cache pour mourir. Ne lui reste plus que l’espoir d’un sauvetage dans les urnes. Après la votation sur la sécurité alimentaire, plusieurs scrutins sur l’agriculture s’annoncent déjà à l’horizon politique du citoyen suisse, témoignant du profond malaise qui frappe ce secteur économique.

Lien vers l'émission

mardi, 24 octobre 2017

Le 18 octobre 2017, le Conseil fédéral a adopté un train d’ordonnances agricoles diversifié dans la perspective du début de la nouvelle période budgétaire 2018-2021. Ce train d’ordonnances comprend notamment l’introduction de nouveaux programmes d’utilisation efficiente des ressource, l’adaptation des contributions à la biodiversité, une utilisation plus ciblée des contributions à la promotion des ventes et d’autres simplifications administratives....

https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/...


mardi, 24 octobre 2017
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(Harare, 16 octobre 2017) La Via Campesina, à l’occasion de cette journée mondiale de la Souveraineté Alimentaire contre les multinationales, lance officiellement sa nouvelle publication “Les Luttes de La Via Campesina pour la Réforme Agraire et la Défense de la Vie, la Terre et des Territoires”. Dans une optique de renforcement de la convergence des luttes, la présente publication entend démontrer qu’une réforme agraire intégrale entre les mains des populations et inscrite dans la souveraineté alimentaire constitue le fondement nécessaire à un tel changement.

Les luttes, les stratégies de lutte et les concepts ont beaucoup évolué au sein du mouvement La Via Campesina. Cette évolution est le résultat du contexte actuel, d’une part, mais aussi des processus collectifs et d’une construction partant de la base et des territoires riches d’une grande diversité historique, culturelle, politique et économique. En ce sens, la réforme agraire intégrale et populaire apparaît clairement comme un processus pour la construction de la souveraineté alimentaire et la dignité des peuples.

Publication

mardi, 24 octobre 2017
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Alors qu’en Suisse, les producteurs agricoles sont bien seuls face à la toute-puissance des grands acheteurs, la Commission européenne envisage un projet de loi pour leur imposer un juste prix. En Europe comme en Suisse, des fermes disparaissent chaque jour...


Article complet: https://www.letemps.ch/economie/2017/10/16/bruxell...

vendredi, 20 octobre 2017
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Radiocité - Le Grand Invité - 16 octobre 2017

"Augmentation du prix du lait de 5 centimes, le producteur va-t-il en bénéficier, un peu seulement..."

interview de Berthe Darras, secrétaire syndicale pour Uniterre.

...écouter l'interview

dimanche, 15 octobre 2017
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Communiqué d'Uniterre et l'Alliance pour la Souveraineté Alimentaire

Le mouvement paysan international « La Via Campesina »[1] a fait du 16 octobre la journée de promotion de la Souveraineté Alimentaire. Quoi de plus logique que de nous associer à l’appel qu’il lance cette année pour la défense de la vie, de la terre et des territoires. Notre initiative populaire aborde ces aspects essentiels.

Les terres : un bien si précieux à épargner

Le sol est l’outil de travail des familles paysannes ; c’est un élément vivant dont la richesse et la fertilité doivent être préservées. Les surfaces d’assolement sont les terres qui sont les plus aptes à la culture et qui de se fait jouissent d’une certaine protection : chaque canton est tenu d’assurer le maintien d’un quota de surfaces d’assolement qui lui a été attribué au début des années 90. Mais les réserves alors disponibles sont bientôt épuisées. La nécessité de conserver des surfaces pour la production de nourriture ne fait souvent pas le poids lors de la pesée d’intérêts face aux besoins de logements, certes légitimes, des infrastructures routières ou du développement de l’économie. Et pourtant, si nous voulons fournir ne serait-ce que la moitié des besoins alimentaires de la population, nous devons épargner et non sur-consommer : urbaniser vers l’intérieur en densifiant intelligemment plutôt qu’en s’étalant, réfléchir à des moyens de déplacements moins envahissant, questionner la croissance sans limite de certaines régions. Chaque acteur doit se rappeler que la terre est un bien précieux qui nous a été prêté avant d’être transmis aux générations futures.

Un territoire vivant: plus de mains, de cœur et de têtes par hectare

Nous l’affirmons : afin de répondre à toutes les attentes de la société, nous devons pouvoir être plus nombreux dans le secteur primaire. Notre initiative veut impulser un changement de cap profond. Depuis 1990, 40% des fermes ont disparu et près de 100'000 emplois perdus; ce n’est humainement plus supportable. Si l’évolution technique compense en partie les pertes d’emplois, elle a aussi des conséquences : accroissement de l’endettement, patrimoine difficilement transmissible à la prochaine génération (investissement trop conséquent), pertes de liens sociaux. Notre initiative vise à répartir équitablement la valeur ajoutée entre les acteurs de la chaine alimentaire. Si le premier maillon de la chaine - constitué par les familles paysannes et leurs employé.e.s - est rémunéré à sa juste valeur, il est possible de créer des emplois afin de miser sur les Hommes plutôt que sur les hectares.

Aujourd’hui il n’y a plus une agriculture, mais des agricultures. Les nouvelles formes de collaborations entre paysans et la diversité des structures (petites, moyennes, grandes, bio, conventionnelles) doivent être encouragées plutôt que freinées. Elles donnent des ouvertures à l’installation de la nouvelle génération de paysannes et paysans. Un secteur qui n’encourage pas la relève et qui ne s’adapte pas à ses nouvelles aspirations est un secteur qui se meurt !

Main dans la main pour un espace rural dynamique et nourricier

Nous appelons à favoriser les échanges commerciaux directs entre paysans et consommateurs ainsi que les structures de transformation régionales. Les artisans qui transforment les produits agricoles (moulins, huileries, abattoirs, bouchers, boulangers, laiteries, fromageries, etc.) sont des acteurs essentiels à la mise en valeur de la production locale. Renforcer leur présence en zone rurale permet une meilleure traçabilité, mais aussi la création d’emplois dans un secteur économique qui a lui aussi subit des restructurations et une centralisation à outrance.

Nous sommes convaincus que la mise en place d’une économie circulaire relocalisée permet de stimuler l’innovation ; un élan souhaitable pour notre population toujours plus soucieuse de l’origine des aliments, de leurs modes de production et de leur impact sur les Hommes, les animaux et la nature.


Extraits de l’Initiative Populaire : « Pour la souveraineté alimentaire. L’agriculture nous concerne toutes et tous »

Alinéa 3, La Confédération prend des mesures pour :

a. favoriser l’augmentation du nombre d’actifs dans l’agriculture et la diversité des structures;

b. préserver les surfaces cultivables, notamment les surfaces d’assolement, tant en quantité qu’en qualité;

Alinéa 5 La Confédération :

c renforce les échanges commerciaux directs entre paysans et consommateurs ainsi que les structures de transformation, de stockage et de commercialisation régionales.

http://www.souverainete-alimentaire.ch/in/fr/




[1] La Via Campesina c’est 300 millions de paysans, 170 organisations dans plus de 70 pays. En Suisse, Uniterre et l’autre syndicat sont membres de ce mouvement.