vendredi, 26 mai 2017
mardi, 11 mai 2004
Rappel et réflexion
Crise ESB en Suisse : Les responsables sont connus
La Confédération et ses services, en particulier l'Office vétérinaire fédéral, l'Office fédéral de l'agriculture, la Station fédérale de recherche en production animale de Posieux et le Secrétariat d'état à l'économie portent une lourde responsabilité dans le développement de la maladie de la vache folle en Suisse, en étant systématiquement intervenus de manière tardive et fragmentaire pour enrayer l'épizootie depuis sa découverte en Angleterre. Les conséquences économiques de l'ESB sont connues, elles se chiffrent par centaines de millions de francs de pertes pour l'agriculture.
Crise ESB en Suisse : Les responsables sont connus
La Confédération et ses services, en particulier l'Office vétérinaire fédéral, l'Office fédéral de l'agriculture, la Station fédérale de recherche en production animale de Posieux et le Secrétariat d'état à l'économie portent une lourde responsabilité dans le développement de la maladie de la vache folle en Suisse, en étant systématiquement intervenus de manière tardive et fragmentaire pour enrayer l'épizootie depuis sa découverte en Angleterre. Les conséquences économiques de l'ESB sont connues, elles se chiffrent par centaines de millions de francs de pertes pour l'agriculture.
samedi, 31 janvier 2004
> décembre 2004: "Volumes de production: remettre en cause certains tabous"
> fin novembre 2004: "PA 2011: ils sont tombés sur la tête"
> début novembre 2004: "Aldi: la course au dumping des prix"
> octobre 2004: "Des fleurs pour Lee, des barrières pour l'OMC"
> septembre 2004: "OMC: rien n'est encore définitif"
> fin novembre 2004: "PA 2011: ils sont tombés sur la tête"
> début novembre 2004: "Aldi: la course au dumping des prix"
> octobre 2004: "Des fleurs pour Lee, des barrières pour l'OMC"
> septembre 2004: "OMC: rien n'est encore définitif"
lundi, 28 septembre 2015
Mobilisations multiformes indispensables
Septembre 2015. Les prix du lait et du porc sont au plancher. Celui des céréales est aussi catastrophique. Nous avons beau chercher des alternatives, lorsque nous livrons dans les filières dites «traditionnelles» les prix actuels ne couvrent même pas 50% des coûts de production. Un scandale d'autant que parallèlement, Hochdorf, Migros, Cremo, Coop, Fenaco et autres annoncent des chiffres toujours en croissance. A force de plumer les paysans et les consommateurs, cela s'explique. Mais cela n'est pas tolérable.
Septembre 2015. Les prix du lait et du porc sont au plancher. Celui des céréales est aussi catastrophique. Nous avons beau chercher des alternatives, lorsque nous livrons dans les filières dites «traditionnelles» les prix actuels ne couvrent même pas 50% des coûts de production. Un scandale d'autant que parallèlement, Hochdorf, Migros, Cremo, Coop, Fenaco et autres annoncent des chiffres toujours en croissance. A force de plumer les paysans et les consommateurs, cela s'explique. Mais cela n'est pas tolérable.
lundi, 28 septembre 2015
Erreur stratégique
Pour Uniterre, cette nouvelle est affligeante à plusieurs titres. Tout d'abord car depuis 2007[1], lors de la consultation lancée par Mme Leuthard sur le projet de Cassis de Dijon, Uniterre avait déjà clairement tiré la sonnette d'alarme quant aux risques d'un tel projet pour la qualité de notre alimentation et sur les illusions que pouvaient avoir les consommateurs sur d'éventuelles baisses de prix. La réalité nous a donné raison.
jeudi, 24 septembre 2015
jeudi, 24 septembre 2015
Deux ans d'échanges de pratiques agricoles diverses autour de l'agroécologie. Pour les membres d'Uniterre, comme les nombreux autres délégués des autres organisations participantes, c'était une exellente opportunité de transmettre et partager nos savoirs paysans
jeudi, 24 septembre 2015
jeudi, 24 septembre 2015
lundi, 21 septembre 2015
lundi, 21 septembre 2015
lundi, 21 septembre 2015
vendredi, 18 septembre 2015