La situation sur le marché laitier est intenable ! Les productrices et producteurs laitiers ont besoin d'une organisation légitime et démocratique qui défende leurs intérêts. La Fédération des Producteurs Suisses de Lait (PSL) doit appartenir aux paysannes et aux paysans !
 Le comité central et l'assemblée des délégués de la fédération PSL sont composés de représentants qui ont plusieurs casquettes.
Diffusion cette semaine sur la RTS Première de l'interview de Claude Demierre dans l'émission "Bille en tête" - entre 9h30 et 10h00 - ou sur le lien suivant : https://www.rts.ch/play/radio/bille-en-tete/audio/bille-en-tete?id=8479060
Tribune parue dans Terre & Nature du jeudi 30 mars
Face à la crise laitière, Uniterre se positionne pour demander une gestion des quantités au niveau national. Pour sa secrétaire Valentina Hemmeler il est temps pour l'Etat de prendre ses responsabilités et d'arbitrer cette crise.
Lire l'article
Un membre d'Uniterre nous a fait part d'un courrier envoyé à son acheteur de lait indiquant la déduction de ces cotisations FPSL et IP lait en faveur d'Uniterre. L'initiative nous a beaucoup touché et nous avons, suite à cela, développé un courrier type. Alors, si vous souhaitez vous aussi une meilleure utilisation de vos cotisations, vous pouvez télécharger l'exemple ci dessous et l'adapter à votre situation!
Télécharger le modèle (.doc)
 
Outils disponibles pour promouvoir la vente de lait cru sur votre ferme ou sur le marché!
A partir des outils développés pour la journée nationale du lait cru du 10 décembre, nous avons adapté ces documents pour promouvoir la vente de lait cru sur votre ferme ou sur le marché. Nous vous proposons une pancarte format palette (80x120cm) et un flyer d'accompagnement.
Si vous souhaitez en savoir plus et en commander, merci de contacter Berthe Darras: b.darras@uniterre.ch
Depuis la fin des quotas laitiers en 2009,les producteurs de lait sont pris à la gorge par la baisse de prix. Face à l'inertie de la Confédération, Uniterre en appelle au respect de contrats-types d'achats annuels et à une action fort et concertée des producteurs.
Article de Joël Depommier paru dans Gauche Hebdo du 10 mars
... lire la suite
Dans le journal Uniterre de janvier (p. 6), nous vous avions parlé de l'initiative cantonale fribourgeoise lancée par Jean Bertschi au printemps dernier concernant la gestion des volumes et des prix de la production laitière. Où en sommes nous aujoud'hui ? 
Début janvier nous avons eu la joie de découvrir qu'un grand distributeur vendait le pack de 10 litres d'eau (12.90.-) plus cher que le pack de 10 litres de lait (11.95.-). En somme, la vie de la vache et celle du paysan semblent compter pour du beurre. A 1.20.- /litre, le prix du lait vendu au consommateur reflète parfaitement les réalités du marché laitier actuel. Un prix au producteur à 50 cts, une marge pour le transformateur de 30 cts et de 40 cts pour le distributeur. Le problème c'est que le prix payé au producteur ne couvre que la moitié de ses coûts de production. Ainsi, les seuls qui conservent joyeusement leurs marges, envers et contre tout, sont les distributeurs et les transformateurs alors que le paysan lui, divise son revenu par deux.
Aux médias
Lausanne, le 2 mars 2017
Communiqué de presse : le Conseiller fédéral Schneider Amman passe la loi au rouleau compresseur!
La survie des producteurs de lait est menacée, mais le Conseil fédéral tolère sans réagir le non respect de la loi. En effet, la loi stipule que tous les producteurs doivent avoir un contrat d'achat de lait qui contient « au moins des dispositions sur les quantités, les prix et les modalités de paiement ». Dans la réalité, il n'en est cependant rien. L'Interprofession du lait IP-Lait tolère la fixation des quantités au pourcentage et le Conseil fédéral est même prêt à accorder la force obligatoire à un tel non-sens.
Lettre de lecteur au Courrier, publiée le 27 février
André Muller réagit à un passage d'un article du jeudi 16 février sur la crise laitière à Fribourg.
Extrait de l'article du Courrier : « Du côté des acheteurs et transformateurs de lait, on affirme être conscient des difficultés rencontrées par les producteurs ces dernières années. Le secrétaire général du transformateur Cremo, Thomas Zwald, considère toutefois que des efforts ont déjà été fournis: